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Universités en déficit : où en est réellement la « dégradation des conditions de formation » ?
Les coupes budgétaires touchent actuellement les universités françaises, engendrant une détérioration de l’offre de formation. Un rapport de l’Inspection générale de l’Éducation, du Sport et de la Recherche (IGESR) souligne une augmentation de la charge de travail et une réduction des moyens, impactant la qualité de l’enseignement. France Universités a exprimé ses préoccupations concernant de possibles fermetures d’antennes universitaires et une diminution des capacités d’accueil, notamment dans des filières à forte demande.
Certaines universités, comme Bordeaux Montaigne, annoncent déjà des réductions d’admissions dans des programmes spécifiques pour 2025. Les établissements adaptent leur fonctionnement : augmentation des effectifs dans les travaux dirigés (TD), diminution des travaux pratiques (TP) et réduction du volume horaire global des formations. Malgré les efforts des universités pour maintenir un accompagnement qualitatif, la pénurie de personnel et la forte pression financière compliquent cette tâche. L’IGESR insiste sur la nécessité d’améliorer le ratio étudiants-enseignants pour garantir une formation de qualité. En l’état actuel, le service public universitaire est fragilisé, et il existe un risque de dégradation continue si ces défis budgétaires ne sont pas rapidement relevés.
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