[ad_1]
Parcoursup : pourquoi un « oui si » peut être une (très) bonne nouvelle ?
En 2018, Yannis a choisi une approche stratégique sur Parcoursup pour sa candidature en licence de droit, en multipliant les demandes. Avec un bac professionnel en restauration, il n’était pas certain d’être bien accueilli. Finalement, il a reçu une admission à l’Université Grenoble Alpes sous condition, un « oui si » qui nécessitait un parcours adapté. Ce type d’acceptation, qui a concerné environ 27 500 étudiants en 2023, implique parfois un programme de soutien ou des cours supplémentaires. Yannis a relevé le défi, a passé un test à la rentrée et a réussi à intégrer le cursus classique en trois ans.
D’autre part, Wissal a accepté une admission conditionnelle en 2021 pour une licence de physique chimie à l’Université Sorbonne Paris Nord. Bien qu’elle pensait qu’un soutien serait bénéfique, elle a constaté que cela nécessitait une prolongation de la formation sur quatre ans. Ses expériences initiales étaient frustrantes, avec un sentiment de ne pas être reconnu comme une véritable étudiante. Finalement, après des problèmes de santé, elle a changé de voie vers la sociologie à l’Université de Rouen, réussissant sans « oui si ». Ces témoignages illustrent les défis et les opportunités des admissions conditionnelles en université.
[ad_2]
LIRE LA SUITE DEPUIS LA SOURCE – www.leparisien.fr