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« On a tellement peur de faire des erreurs » : des étudiants en médecine racontent leur première garde de nuit à l’hôpital
Les néo-internes de médecine se confrontent rapidement aux défis des gardes de nuit, souvent après quelques jours ou semaines dans leur stage. Colin, interne en médecine d’urgence, décrit son expérience de première garde à l’hôpital de Narbonne, où il a dû gérer plusieurs services seuls, une expérience typique qui suscite stress et appréhension chez ces jeunes médecins. Maïssa, aujourd’hui en troisième année d’internat, a trouvé refuge dans le fait de rapidement se concentrer sur ses tâches pour atténuer son anxiété. Les gardes, souvent commençant à 18h30 et se terminant le lendemain matin, exposent les internes à d’énormes responsabilités, souvent sans sommeil, ce qui ajoute à la tension. Les internes doivent pouvoir demander de l’aide aux médecins seniors pour naviguer à travers des situations complexes, surtout en pédiatrie où la communication avec les enfants peut être difficile.
Au fur et à mesure qu’ils accumulent de l’expérience, les internes commencent à se familiariser avec leurs rôles. Le soutien des équipes soignantes, particulièrement des infirmières, joue un rôle crucial. Après plusieurs gardes, la confiance des internes grandit, même si chaque nouveau stage apporte de nouveaux défis.
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