[ad_1]
« Je ne me reconnaissais pas du tout là-dedans » : comment faire de l’écologie un levier d’insertion professionnelle
Dans son supplément spécial sur la transition écologique, l’association Makesense met en lumière le fait que les jeunes des quartiers populaires sont particulièrement affectés par le changement climatique, mais demeurent sous-représentés dans le mouvement écologique. Selon Irène Colonna d’Istria, les idées préconçues entourant l’écologie, souvent perçue comme l’apanage d’urbains diplômés ou d’activistes prônant un engagement sacrificiel, rendent difficile l’implication de ces jeunes. Makesense vise à remédier à cette situation en intégrant des préoccupations sociales dans les discussions écologiques et en se concentrant sur des thématiques attrayantes telles que l’alimentation, la culture, et le numérique.
Minata, une jeune femme qui ne s’intéressait pas à l’écologie avant de participer à un service civique, illustre ce changement. Grâce à des expériences variées, elle a compris l’importance de l’alimentation dans le contexte écologique et s’engage désormais à sensibiliser les autres. Le programme permettra à un groupe de jeunes de développer des projets culinaires valorisant la diversité alimentaire de Bagnolet. Plusieurs d’entre eux prévoient de poursuivre leur engagement ou de chercher des emplois à impact. L’initiative témoigne d’une réelle volonté de changement et d’engagement parmi ces jeunes.
[ad_2]
LIRE LA SUITE DEPUIS LA SOURCE – www.leparisien.fr