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« J’aurais aimé me relancer à Paris » : faute de logement malgré un bon salaire, Madjid quitte son travail
Madjid, un homme de 50 ans, a décidé de rentrer à Grenoble ce week-end après avoir démissionné de son emploi dans une société de gestion en région parisienne, où il n’a travaillé que dix jours. Ce choix n’est pas motivé par une insatisfaction à l’égard du travail ou de l’entreprise, mais plutôt par une difficulté majeure : l’absence de logement. Face à une situation d’incertitude persistante et à la perspective de débourser 3 000 euros supplémentaires pour un hôtel, il a décidé qu’il ne pouvait plus rester à Paris. Ce défi de logement n’est pas isolé, puisqu’il reflète une tendance générale : selon la Confédération des PME (CPME), 19 % des recrutements échouent à cause des problèmes d’accessibilité au logement dans la région. Madjid incarne donc une réalité tristement courante pour les employeurs et les employés en quête de logements abordables. Cette problématique soulève des questions sur le marché immobilier et ses impacts sur l’emploi en France.
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« J’aurais voulu redémarrer à Paris » : malgré un bon salaire, Madjid quitte son emploi faute de logement.
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