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« Étudiants, entreprises, société : tout le monde nous attend là-dessus » : l’enseignement supérieur contraint de se verdir
Le Collectif pour l’intégration de la responsabilité sociétale et du développement durable dans l’enseignement supérieur (Circes), fondé il y a dix ans, connaît une forte demande pour sa labellisation DD&RS. À l’origine, ce collectif visait à rassembler des professionnels isolés pour partager leurs bonnes pratiques en matière de transition écologique. Le label DD&RS, établi en 2015, est devenu un standard national pour les établissements souhaitant faire reconnaître leurs efforts en développement durable.
Face à l’afflux de demandes, le Circes prévoit de rendre la candidature accessible tout au long de l’année, remplaçant les deux sessions de labellisation annuelles d’ici fin 2024. La transition est devenue une priorité dans l’enseignement supérieur, soutenue par des événements tels que le Grenelle de l’environnement et les accords de Paris.
Les étudiants aujourd’hui ne conçoivent pas une formation déconnectée des enjeux environnementaux. De nombreuses écoles, comme l’École Centrale de Nantes et Kedge Business School, révisent leurs programmes pour intégrer la transition écologique. Emlyon, par exemple, a modifié 87 % de ses cours pour répondre à cette exigence et vise la neutralité carbone d’ici 2030.
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