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Student Pop, StaffMe… Quand les jobs étudiants s’ubérisent
Léonie, étudiante en M2 à Sciences Po Grenoble, a toujours eu des emplois étudiants, mais son départ pour un an en Italie l’a poussée à explorer de nouvelles options pour financer ses études. Elle a découvert Gostudent, une plateforme de tutorat en ligne qui lui a permis de travailler à son rythme en se déclarant autoentrepreneuse. Ce statut, bien que flexible, présente des inconvénients tels qu’une protection sociale limitée et l’obligation de gérer ses propres cotisations. Les plateformes numériques, selon Grégoire Leclercq, président de la FNAE, facilitent l’accès au marché du travail pour les étudiants, même si cela s’accompagne de précautions concernant leur sécurité financière.
Une recherche a montré que le travail étudiant n’est pas totalement « ubérisé », mais s’est transformé, donnant plus de flexibilité aux étudiants. Cependant, ils sont souvent confrontés à des rémunérations erratiques et à des évaluations arbitraires par les employeurs, sans assurance d’un salaire minimum. Malgré quelques avantages en termes d’adaptabilité, de nombreux étudiants ont exprimé des expériences stressantes et insatisfaisantes sur ces plateformes. Léonie, pour sa part, a préféré revenir à un modèle traditionnel d’emploi étudiant, appréciant une rémunération et un respect accrus pour son travail.
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