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Burn-out étudiant : « Je ne pouvais pas avoir envie de mourir à cause de mes études »
Elena Fournier, âgée de 25 ans et étudiante en médecine, a commencé à ressentir des idées suicidaires en raison de la pression intense de sa formation, un sentiment qu’elle n’avait jamais vécu auparavant. En Martinique, le stress et l’anxiété l’ont empêchée de se rendre à son stage, la poussant à solliciter de l’aide. Grâce à une cellule de soutien mise en place après le suicide d’un interne, elle a pu bénéficier d’un suivi psychologique et de traitements médicamenteux. Ce problème ne touche pas seulement les étudiants en médecine, mais également d’autres filières, exacerbés par des facteurs tels que la pression liée aux concours et la précarité croissante.
Des initiatives, comme l’association Hypersens, visent à sensibiliser et aider les étudiants à identifier les signes d’épuisement. Au sein des établissements, des outils sont mis en place pour surveiller la santé mentale et offrir un soutien personnalisé. Elena a finalement réussi à surmonter son burn-out et s’est tournée vers le coaching pour aider d’autres étudiants. Elle a développé des méthodes d’accompagnement pour ceux confrontés à des difficultés similaires, reconnaissant l’importance du soutien social dans ces situations.
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