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Sur la Côte d’Azur, l’arrêté anti-croisières plonge Villefranche-sur-Mer en eaux troubles
Dans une petite boutique de prêt-à-porter féminin à Villefranche-sur-Mer, en ce jour ensoleillé de février, l’atmosphère est calme, mais sous cette surface tranquille, les tensions montent. Depuis le 24 janvier, la ville, habituellement animée, est en émoi. Christian Estrosi, le maire de Nice, a pris une décision controversée : il a signé un arrêté interdisant aux bateaux de croisière de plus de 900 passagers de débarquer à partir du 1er juillet. Cette mesure vise à combattre le surtourisme et la pollution, mais elle suscite des réactions parmi les commerçants locaux, notamment ceux du secteur des souvenirs et de la restauration.
Les élus et les professionnels affectés expriment leurs préoccupations quant aux conséquences économiques de cette décision, alors que la commune, réputée pour sa beauté, pourrait voir son tourisme impacté. Dans ce contexte, la tranquillité apparente des rues cache une agitation grandissante, reflet des tensions entre les efforts de durabilité et les besoins économiques locaux.
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